Réponses aux questions DP de la région Sud Est, information CFDT OTIS
Envoyée jeudi 19 décembre 2019 à 19:03:05
Le 18 Juin les délégués DP n’ont toujours pas reçu les réponses question DP mai 2014, alors que certains centres où agences ont affiché le contre rendu. Il est anormal d’avoir les réponses aussi tard. Les délégués DP sont dans l’impossibilité de préparer correctement la réunion suivante.
Pourquoi un tel retard ?
Les réponses aux questions DP ont été adressées aux membres élus avec la convocation à la réunion de ce jour comme cela semblait être la pratique antérieure.
Conscient des difficultés que cette pratique peut engendrer, nous adresserons directement les réponses aux membres de l’instance en même temps que lors de la diffusion aux agences, et ce dans le délai réglementaire.
Depuis fin 2013 les techniciens de Clermont Ferrand réclame le paiement de 6 primes de salissures (environ 98€) des mois de 02 ; 03 ; 04 ; 06 ; 09 ; 11 / 2013 dû à une erreur où un oubli du contremaitre.
La direction par Mr le RRH c’était engagé (question DP mai 2014) à régulariser les techniciens en Juin 2014.
Les vérifications demandées ont été faites.
Les rattrapages de primes ont été pointés sur la semaine 25 de paie (16 au 22 juin), et seront donc payées du fait du décalage de paie, avec la paie de juillet.
Vrai ou Faux : une zone 3 est indemnité kilométriques applicable à une tournée extérieur ou à un dépannage et VR à plus de 10 Km du centre où de l’agence et sans a justifier un repas.
La ZONE 3 est applicable en maintenance pour les trajets réellement effectués et supérieurs à dix kilomètres
- entre le centre de service situé à proximité de l’ensemble des tournées et le lieu de l’intervention (cas le plus fréquent)
OU
- entre le centre-ville de leur lieu de travail défini dans leur contrat de travail et le lieu d’intervention pour les techniciens dont le centre de service est particulièrement éloigné de leur tournée et ne nécessitant pas un passage au centre de service ( cas particulier engendré par 1 seul local technique commun en lieu et place de plusieurs anciens centres et locaux )
Les techniciens de L’ALLIER ont tous été regroupé dans un unique centre à Commentry (fermeture des centres Vichy, Moulin et bientôt Montluçon).
Les techniciens de maintenance sont maintenant tous à 68, 80 et 15km soit plus de 10km du nouveau centre de Commentry (tournée extérieur). Il est normal qu’une zone 3 soit appliquée tous les jours. Sujet déjà traitée dans précédentes réunions DP.
Pourquoi le problème persiste.
L’affectation des techniciens n’a pas été modifiée par le déménagement sur le nouveau centre de Commentry.
Comme indiqué précédemment, une Zone 3 ne sera appliquée qu’en cas de demande du management de se rendre sur le Centre de Commentry (par exemple pour une réunion).
Pourquoi les réponses données aux questions en réunion DP ne coïncide pas avec le compte rendu affiché en agence et ne sont pas les mêmes aux réunions DP Sud Est et DP Est.
Il arrive qu’entre les réunions de DP Sud Est et les réunions de DP Est, des renseignements complémentaires parviennent à la Direction ce qui peut engendrer des précisions dans les réponses apportées.
Mr Bapt Thierry (Agence de Clermont Ferrand) n’a pas pu prendre tous ses congés CPN fin mai 2014 pour cause de santé absence maladie. Une demande a été faîte par le contremaître pour qu’il puisse prendre le reliquat de ses congés cet été. Tous les techniciens qui sont dans la même situation attendent une réponse rapidement.
Un suivi des reliquats de compteurs de congés est effectué comme chaque année par le service des ressources humaines (Ghyslaine Spano).
Comme à l’accoutumée, les contremaîtres peuvent s’adresser à elle.
Les jours de congés non pris pour cause de maladie et de fait reportés seront effectifs sur paie juillet 2014.
Des techniciens absents pour congé n’ont pas pu assister à la réunion sécurité BILAN EHS 2013 où notamment il a été questions sur les visites chantiers.
Ex : Accès toit de cabine
Déroulement et point à vérifier
Cas réserves réduites
Munis de KS
Le contremaitre à donner les feuilles (durée 2 min) aux techniciens et fait signé la feuille de présence et sans aucune explication sur accès toit de cabine et risque de chute. Alors qu’il est écrit sur les feuilles : Rependre le manuel, commenter et discuter autour des règles spécifiques
Nous demandons de refaire la réunion intégrale aux techniciens absents et surtout avec le nouveau manuel. Il important de bien informer les techniciens sur les règles de sécurités du nouveau manuel, pour ensuite ne pas les mettre en défaut sur une visite chantier où une VPR.
Comme pour n’importe quelle réunion sécurité, un rattrapage de celle-ci doit être effectué avec la présentation de son contenu dans l’intégralité.
L’ensemble du personnel a été doté d’un nouveau manuel de sécurité.
Est-il possible de de faire une réunion sécurité animée sur le nouveau manuel aux règles spécifiques de sécurité.
C’est le cas lors de chaque réunion sécurité, les thèmes sont abordés faisant référence au manuel et (pour les chapitres évoqués) doivent être lu.
Sur la tournée du Puy (180 à 200 appareils) le technicien pour couvrir les deux points les plus éloigné il lui faut environ 3H en été et beaucoup plus en hiver.
Si le technicien a besoin d’aide où de secours et qu’il se trouve à Blesle 43450, les techniciens les plus proche sont à Saint Etienne pour lui porter secours ( 2H 30 min en été )
Le technicien est très souvent seul et isolé astreinte et travail. Le technicien qui soit disant est là pour l’aider ( 50% T / 50% O) n’est jamais à 50 % heure de O où rarement sur le Puy (plusieurs mois sans venir). Et les 2 autres techniciens qui habitent aux Puy sont basé et travail à Saint Etienne et non au Puy, il y donc une situation d’isolement et de danger pour le technicien.
Les techniciens n’ont pas vocation à porter assistance à leurs collègues.
C’est le rôle des services de secours (pompiers…).
En cas de besoin d’aide même à 2h30 de distance, le technicien ne doit prendre aucun risque cf « Dilemme du technicien » il appelle son CM, met l’appareil à l’arrêt et reporte l’intervention le cas échéant.
En cas de danger, qu’elle qu’en soit la raison, il faut appliquer la procédure et, en cas de zone blanche, utiliser celle dite de mode dégradé qui a été rappelée dernièrement et qui est la suivante :
Procédure « mode dégradé »
Si défaillance de l’OUTITEC ou du Système DATI :
Informer le CM qui relayera l’information vers OTIS Line pour éviter toute escalade injustifiée ;
Utiliser le GSM pour acquitter les points de veille par SMS à envoyer au Contremaître.
Si défaillance du téléphone GSM :
Informer le Contremaître par tout moyen qui prendra les dispositions pour vous équiper d’un téléphone de remplacement (procédure mise en place par le pôle logistique chantier).
La Direction a pris bonne note de la situation du salarié évoqué.
Nous allons le rencontrer afin d’évoquer avec lui ce sujet.
La direction a décidé sur la Négociation Annuelle Obligatoire 2014 d’accorder le LUNDI de Pentecôte chômé et payé à l’ensemble du personnel. Les techniciens d’astreinte ce jour-là doivent bénéficier aussi du jour chômé et payé comme tout le monde. Donc ils doivent être payé à 300 % où 200 % avec un jour supplémentaire de repos.
S’agissant du cas particulier des salariés en astreinte le Lundi de Pentecôte :
Ces salariés ont un pointage sur GESTOR en jour férié.
En cas de sortie d’astreinte, les heures sont pointées en code SF.
Cela ouvre droit au versement des heures majorées pour jour férié à 200 % et le cas échéant des majorations pour heures supplémentaires (salariés mensuels) ou REC (salariés annualisés).
Le fait que cet année, du fait de la NAO 2014, OTIS prenne à sa charge la journée de solidarité n’a pas d’incidence sur cette situation.
Le lundi de Pentecôte est par conséquent férié et chômé cette année.
Les techniciens se plaignent du faible pourcentage de l’augmentation de salaire et certains chefs de centre et contremaitre font de la désinformation en disant que c’est les organisations syndicales qui ont signé et validé l’accord NAO. C’est totalement faut et aucune organisations syndicales n’a signé le procès-verbal de NAO 2014.
Il serait judicieux d’afficher le procès-verbal de désaccord NAO 2014 Paris 31.03.2014 dans tous les centres et agences pour éviter cette désinformation.
Une information par voie d’affichage a été effectuée suite à la NAO 2014 (cf note d’affichage du 22 avril 2014).
Il faut rappeler que les tableaux d’affichage syndical en agences et des centres doivent être réservés uniquement aux organisations syndicales et il est strictement interdit d’enlever des feuilles.
Un rappel sera fait dans toutes les agences.
La CFDT demande à ce qu'un rappel soit fait dans tous les centres concernant les 11 heures de repos consécutives et 35 heures hebdomadaires.
Pouvez-vous donner plusieurs exemples (avec des sorties à différentes heures) afin que le personnel de chantier soit informé de ses droits et puisse les appliquer, notamment pour la reprise décalée des horaires de travail ?
Pouvez-vous demander à ce qu'un rappel soit fait en réunion et compléter d'un affichage ?
Nous sensibilisons l’ensemble de l’encadrement sur le respect des durées maximales de travail (quotidiennes et hebdomadaires).
Il en est de même pour les temps de repos entre deux postes de travail.
Des rappels sur ces sujets sont faits régulièrement.
La CFDT a été alertée de soucis avec ARVAL concernant le changement de pneus usés. Pouvez-vous nous donner la procédure à suivre afin qu'ARVAL change les pneus d'un véhicule lorsqu'ils sont lisses ? En effet, un technicien s'est vu refuser le changement de pneus pour une voiture qu'il a récupérée d'un centre. Que doit-on faire pour rouler en toute sécurité ?
Pour toute demande de maintenance sur les véhicules de la flotte, cette dernière doit être faite par le technicien auprès de son CM qui reporte la demande à la Région (Stéphanie Collange).
La Région traite ce sujet en lien avec le pôle logistique.
Une fois la demande validée, le technicien est averti par son CM de la prise en compte ainsi que des modalités de mise en ouvrez de celle-ci.
Sur aHRistot, le crédit de jour de congés d'ancienneté a été actualisé pour la période du 01-06-2014 au 31-05-2015. Mais les jours non comptabilisés au titre de l’année 2013 n’ont pas été remis, contrairement à ce qui avait été annoncé lors du CE du 25 mars 2014 :
Extrait du procès-verbal du CE du 25 mars 2014:
Mme LEMAITRE : "Les prorata ont été correctement appliqués. Les jours qui n’ont pas été comptabilisés seront remis en juin 2014 sur le bulletin de paye".
Par exemple, M Christophe Mostkowski se trouve dans la situation illustrée par le schéma suivant : en 2013 seuls 3,5 jours de CPA lui ont été attribués au lieu de 5.
Ce sont donc 6,5 jours qui auraient du lui être crédités au 1er juin 2014 (5 + 1,5). Or le compteur aHRistot affiche seulement 5 jours de CPA.
Les délégués du personnel CGT vous demandent la correction de cette erreur pour tous les employés concernés.
Par la même occasion, il serait bon de faire rectifier l’affichage de la colonne « Unité » : jour « ouvré » au lieu de jour « oeuvré ».
Nous prenons bonne note de votre remarque.
Cependant, nous ne partageons pas cette analyse.
Pour autant, nous vous proposons une rencontre afin que chacun puisse exprimer son point de vue sur ce sujet.
L'absence d'un technicien de maintenance et du contremaître depuis plusieurs mois sur l'équipe de Saint-Raphaël/Fréjus engendre fatigue et stress à tous les niveaux : techniciens, leader et ingénieurs commerciaux.
Pour quelle(s) raison(s) le remplacement du contremaître, dont la mutation était planifiée de longue date, n’est toujours pas effective alors que le centre va entrer dans la période de pointe estivale ?
Les délégués du personnel CGT vous alertent sur les risques psychosociaux que génère cette situation de carence et vous demandent que des solutions soient rapidement mises en place pour palier à l’augmentation de la charge de travail de chacun. Consultel ne peut pas être la seule réponse à ces conditions de travail dégradées.
Un recrutement est en cours.
la réponse écrite de l’employeur aux questions des délégués du personnel
A la lecture des réponses apportées aux questions des délégués du personnel du mois de mai, nous constatons et déplorons que notre demande à ce que les réponses écrites de l’employeur évoquent aussi, au moins partiellement, les échanges en séance autour des différentes questions posées, n’a pas été prise en considération.
Par exemple, la question portant sur les conditions de travail des techniciens et la surcharge de travail des CM, se traduit par une réponse laconique d’une ligne et demi en forme de fin de non-recevoir, alors que cette question a pourtant fait l’objet d’échanges importants et qu’à bien des égards, la direction a convenu de la gravité de la situation.
Nous estimons que les réponses de la direction, apportées en séance, engagent celle-ci au même titre que les réponses écrites. A ce titre, nous réclamons que celles-ci apparaissent dans le document : ‘’réponses aux questions des délégués du personnel.’’
Nous rappelons que la Direction doit formaliser les réponses écrites aux questions posées par les Délégués du Personnel.
C’est ce que nous faisons, fut ce de manière synthétique.
Le fait d’avoir des échanges au cours de l’instance ne justifie pas de transmettre – à titre de réponse – ce qui serait assimilable à un procès-verbal des échanges qui se sont tenus au cours de l’instance.
La fiche annexe paie
En fin de réunion du mois d’avril, les délégués du personnel CGT ont évoqué les difficultés rencontrés par les salariés à comprendre la fiche annexe du bulletin de paie. Les délégués du personnel CGT ont expliqué les nombreux points d’incompréhension et un document explicatif devait paraître. A ce jour ce document n’a pas été produit.
Les délégués du personnel CGT demandent qu’un document explicatif soit porté à la connaissance des délégués du personnel et produit à l’ensemble des salariés.
Nous avons fait la demande afin qu’un document explicatif soit réalisé afin de faciliter la compréhension des données indiquées sur la fiche annexe de paie.
Surveiller et punir.
Les délégués du personnel CGT s’interrogent sur la légalité de sanctions établies sur la base d’un entretien préalable où aucun grief n’a été reproché au salarié.
Il relève du pouvoir d’appréciation de l’employeur de qualifier la situation qu’il souhaite sanctionner ou pas.
Si un salarié souhaite contester ceci, il existe des voies de recours légales.
De notre point de vue, aucune sanction n’a été prise à l’encontre d’un salarié en l’absence de griefs.
Par ailleurs, il est rappelé que les mesures disciplinaires font l’objet d’un examen collégial de chaque situation entre la Direction Régionale, les Directions d’Agences, la Direction des Ressources Humaines et de la Direction de la Sécurité le cas échéant.
Les délégués du personnel CGT s’interrogent, à qui revient d'effectuer les visites de première intervention lorsque l’ont récupèrent des appareils de la concurrence? En profite-t-on pour faire un état des lieux en rapport à l'amiante?
Avant booking, obligation de l’ancien prestataire de fournir le DTA.
Ensuite, lors de la première visite d’intervention, le technicien est interrogé sur les suspicions de présence d’amiante au moyen de l’OUTITEC.
Lors des visites régulières, les techniciens sont malheureusement obligés de faire la course aux appareils avant qu'ils ne passent en "noirs". Les délégués du personnel CGT réaffirment leur nette préférence pour le qualitatif sur le quantitatif. Ce, au nom du travail bien fait, du sens que l'on donne à celui-ci et de la sécurité des usagers. Nous demandons à la direction de réaffirmer elle aussi cette préférence.
Il faut travailler les appareils avant « qu’ils ne passent « en Noir ».
Cela nécessite de s’organiser en temps.
La Direction ne cautionne en aucun cas la pratique rapportée ci-dessus consistant en une « course aux appareils ».
Les astreintes représentent aujourd'hui, une des principales entraves possibles à la législation du travail. Les délégués du personnel CGT demandent à la direction régionale de mettre tout en oeuvre pour qu'aucun dépassement des heures légales quotidiennes, et de jours de travail consécutifs hebdomadaires ne soit fait. De plus, ils demandent à la direction de veiller aux 11 heures de repos consécutifs quotidiennes.
Nous sensibilisons l’ensemble de l’encadrement sur le respect des durées maximales de travail (quotidiennes et hebdomadaires).
Il en est de même pour les temps de repos entre deux postes de travail.
Des rappels sur ces sujets sont faits régulièrement.